25 octobre 2013
ASTERIX CHEZ LES PICTES
On en attendait sans doute trop. L'intention était louable de raviver l'esprit des grandes années Goscinny, mais le dessin de Conrad n'est pas tout à fait à la hauteur du trait virtuose d'Uderzo, et surtout, le scénario de Ferri, trop respectueux, trop convenu, ne tient pas longtemps la route et frôle presque l'ennui. Les situations et les jeux de mots sont téléphonés, pour ne pas dire peu inspirés. On tient là une BD tout à fait ordinaire, sans âme, sans souffle, à peine mieux foutue qu'un Scrameustache, c'est dire...Et si Hergé avait raison ?
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